Sans la générosité primordiale,
une œuvre ne sera jamais lue. J’entends qu’elle pourra être déchiffrée
mécaniquement, elle ne sera jamais lue.
samedi 29 septembre 2012
samedi 22 septembre 2012
lundi 17 septembre 2012
LITTéRATURE.025_"Une oeuvre vivante" (2012.03.30/18:15-18:45)
Il est possible de ne pas aimer une œuvre malgré
cette générosité primordiale. Il est impossible ce faisant de l’enterrer
vivante avec cette disposition. Une œuvre est Vie, elle est et demeurera
vivante éternellement, malgré les autodafés. Il faudrait pour tuer une œuvre,
éradiquer son auteur, ses lecteurs, l’entourage des lecteurs … tout ce qui fut,
de près ou de loin, en contact avec cette œuvre.
lundi 10 septembre 2012
LITTéRATURE.024_"Une adhésion a priori" (2012.03.30/18:15-18:45)
Toute adhésion a posteriori à une
œuvre n’est pas le fait de l’écrivain : elle résulte seulement d’une
faille dans l’a priori du lecteur. L’écrivain n’a pas à convaincre, il doit
fidéliser la générosité primordiale du lecteur.
dimanche 2 septembre 2012
LITTéRATURE.023_"Une générosité primordiale" (2012.03.30/18:15-18:45)
Tout lecteur, pour comprendre et
saisir les écrits d’un auteur, doit être mu par une générosité
primordiale : celle de prendre l’écrivain au sérieux, au mot, dans toutes
leurs dimensions.
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