A travers son écriture, cette quête d’identité se
manifeste pour Georges Pérec : explicitement dans « la rue
Vilin », « W ou le souvenir d’enfance » ; implicitement
dans « la disparition ».
Je fais mienne sa méthode
« de chercher en nous ce que nous avons si longtemps pillé chez les
autres » (et ce que l’on nous a
inculqué ?) ; je fais mien son projet de « définir sa propre
anthropologie ».
Relu et annoté le 21.01.2014
(13h50 – 14h00) Corrigé le 19.01.2014 (23h20 –
23h45)
Par delà des oppositions binaires (extra/infra –
ordinaire ; exo/endo – tique), par delà cet habituel auquel nous sommes
tellement habitués : qu’interroge Georges Pérec qui éveille ma
conscience ?