J’ai compris cela grâce à une photographie prise
par mon oncle Mario. Alors âgé de deux ans et demi, je ne sus des bribes
d’alphabet qu’à l’âge de six ans. Cependant, je me vivais rétrospectivement
déjà écrivain. Sans connaître Erasme de Rotterdam, j’en avais déjà la pause
telle que figée par Hans Holbein : le crayon à la main, la feuille posée
devant moi et le visage imprégnée par la concentration de ce que
« j’écrivais ».
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