Relu et corrigé (18h45 – 18h50)
Et
nos découvertes ne sont parfois pas un surcroît de connaissance. Au contraire,
mieux se connaître peut passer par un retour aux savoirs fondamentaux, par
l’abandon de savoirs inutiles, du moins en l’état de nos capacités actuelles de
réflexion.
L’abandon
de souveraineté de ce sur quoi nous croyions avoir eu prise, par notre
intellect, peut être bénéfique. Cette décolonisation de la pensée, ce
renoncement à des territoires de l’esprit nous allège, car nous ne sommes pas
encore en mesure de les comprendre, de les connaître.
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