Corrigé 12.06.2016 (16h32 – 16h35)
Avoir la modestie de reconnaître que certes une pensée
est belle, mais nous ne pouvons pas nous l’approprier, la posséder. Elle
existe, elle est bien construite, mais nous ne savons qu’en faire.
La tentation est forte d’en user. Nous nous imaginons le surcroît de
gloire que cela nous procurerait. Nous n’imaginons pas encore le danger que cela
représenterait. Le risque de se dévoyer : « elle n’est pas faite pour
toi, cette pensée trahirait ce qui te fonde. »
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