Il sait par exemple pour l’avoir lu à de nombreuses reprises et pour l’avoir observé intimement qu’un lien profond entre souffrance et écriture existe. Et de là une logorrhée imbuvable sur les relations de causes et de conséquences entre ces deux éléments de son quotidien, qu’il organisera selon toutes les figures géométriques connues faisant intervenir deux variables ; se compliquant un peu la tâche, et ce faisant croyant compliquer les solutions, il introduira quelques probabilités d’occurrence … jusqu’à ce que sa probité et l’ennui lui soufflent à l’oreille, sur lesquelles il croyait que quelques glorieux lauriers étaient posés : « d’autres sentiments existent ».
La joie lui sautera alors au cou et devenant fou il se croira tout d’abord étranglé tant il était habitué à respirer l’air de la douleur. Après coup il prendra la joie dans ses mains et il s’interrogera. A la question : « d’où vient-elle ? », il répondra : « de mon écriture ! ». Mais il ne trouvera pas de solution au problème posé par sa joie persistante au milieu du vase clos de la souffrance – écriture.
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