Alors je pense aux tiraillements de Jack, tels qu’exprimés par Victor Lévy-Beaulieu et Jean-Paul Loubes … et par Jack lui-même quand on sait le lire. Tiraillement qui finit par tout déchirer : le papier, la toile, les simagrées qui nous entourent et par lequel demeure le dénuement d’un Adagio de Bach (concerto pour violoncelle BWV 1042).
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