Et face à ce désespoir ne me
reste que la chanson de Gilles Vigneaut : « Il me reste un pays
… » ! Et cela est déjà de trop. Cela fait renaître l’espoir et ses
rêves dérisoires. L’ambition d’être « Jack Kérouack ou de n’être
rien » dans un moment de verve hugolienne adolescente.
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